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Le livre "Le soleil se levait à l'Ouest" Dan Sprinceana

💡 La liberté, obsession vitale

Mon expérience personnelle

Qu’est-ce qu’une vie libre ? 

Jusqu’où peut-on aimer ? 

Et que laisse-t-on derrière soi en franchissant les lignes interdites ?

Écrire ce livre a été pour moi un acte de mémoire, mais aussi un acte de libération. Ayant moi-même grandi sous une dictature, j’ai connu les silences, les peurs, et cette tension permanente entre loyauté et désir d’évasion.

Si le personnage de Toma ne me ressemble pas totalement, il porte néanmoins beaucoup de ce que j’ai ressenti, observé, ou traversé. Cette page est une confidence : une manière de vous ouvrir un peu de mon passé, et de montrer que ce roman, bien qu’inventé, est profondément sincère.

Il y est question de fidélité, de rupture, de départs sans retour. Mais aussi de reconstruction et de l’écriture comme rempart contre l’oubli.

 

Le roman explore la liberté sous toutes ses formes : la liberté politique, évidemment, dans un pays où tout est surveillé et verrouillé, mais aussi la liberté intérieure, celle qui permet de rêver, de dire non, de se libérer des compromis. Chez Toma, elle devient une nécessité biologique. Chez Lizeta, elle est instinctive, presque sauvage. Le récit interroge ce besoin universel d’échapper à ce qui nous étrangle, quitte à y perdre une part de soi.

 

L’amour comme refuge… ou piège

Entre Toma et Lizeta, il y a plus qu’une romance. Il y a une forme de communion dans l’adversité, un besoin d’absolu, une volonté de se sauver ensemble. Leur amour est à la fois un refuge et une tension, une source de force et de douleur. Dans un monde où tout est incertain, aimer devient un acte de résistance.

 

L’exil et l’arrachement

Fuir, c’est toujours choisir. Mais c’est aussi abandonner : un pays, une langue, des visages, parfois même des convictions. L’exil n’est pas un soulagement immédiat, c’est une métamorphose. Ce roman donne corps à ce moment fragile où l’on quitte sans savoir ce que l’on trouvera, où chaque pas vers la liberté coûte quelque chose d’essentiel.

 

La mémoire et la perte

Le récit est traversé par une mélancolie sourde : celle des instants qui s’effacent, des liens défaits, des vies volées par l’Histoire. C’est une mémoire hantée, parfois floue, parfois brûlante, que le narrateur partage – une mémoire qu’il tente de recomposer, comme pour sauver quelque chose de ce qui fut.

 

Ce roman ne donne pas de leçons : il écoute des silences, il restitue des regards, il ressuscite des gestes simples dans des temps extrêmes.

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